Autoportrait: Didier Saulnier

Face à une oeuvre d’Anish Kapoor, Art Basel Miami, 2007

 

Prénom: Didier (comme Didier Daurat, pionnier de l’aviation, Toulouse oblige),

Nom: Saulnier (celui qui récolte le sel… un vieux et beau métier !),

Né le: 5 mars 1966 (13 ans jour pour jour apres la mort de Staline, brrr !),

A: Toulouse (la ville « rause », c’est quand je dis ce mot qu’on sait normalement d’où je viens !),

Vit à: Paris (près du Canal St Martin, l’eau, comme l’air, c’est la vie),

Parcours: archéologue manqué (le latin jusqu’en terminale pour l’école des Chartes et finalement … une Sup de Co, tonnerre de Brest ! Enfin si, une passion pour l’histoire déjà), « pas fait pour la vente » (mon premier stage en 1986 chez Rank Xerox à Montpellier), « Applemaniaque » (mon deuxième stage chez IBM au siège de la Défense, avec mon Mac sous le bras… acheté avec le salaire de mon premier stage…), puis 20 années de « deals » en tous genres : poudre chez Procter & Gamble (Ariel etc, de la Normandie à Paris, en passant par l’Auvergne), spiritueux chez Moet Hennessy Diageo (Johnnie Walker… keep walking, de Paris à la Défense, en passant par l’Ecosse et la Champagne), Coke (et Fanta) at The Coca-Cola (world) Company (Chine, Brésil, Turquie, Pologne… le monde selon Carrefour), taurine chez Red bull (un taureau d’avril 2008, de Salzbourg à Paris … une blitzkrieg commerciale), pendant ce temps … l’envie d’autre chose qui prend forme… une rencontre à Barbizon en 2001 (ma femme), l’art d’aujourd’hui comme nouveau Graal personnel, et finalement un retour aux sources : archéologue du présent … avec l’entreprise comme terrain de fouille et l’art contemporain comme pépite … Enfin on cherche … et on trouve en 2011 le plus bel endroit pour une grande fouille collective: la gare !

Signe particulier: passionné irréductible,

Aime: l’art comme lien social, les idées qui donnent envie de déplacer les lignes, Bach, Malher, Truffaz et Radiohead, la franchise, l’utopie qui devient réalité, les éclats de rire de ma femme, son regard sur l’histoire de l’art … et sa cuisine !

N’aime pas: l’art comme statut social, le court-termisme ambiant, le nivellement par le bas, les gens stressés dans la rue… et les mauvaises sardines à l’huile (un traumatisme de l’enfance, car ça peut être très bon !).

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